Les nouvelles exploitations pétrolières et gazières envisagées en mer du Nord, sous licences préliminaires du Royaume-Uni, pourraient générer autant de dioxyde de carbone que les ménages britanniques en trois décennies. Ce constat soulève la question cruciale de l’avenir énergétique face aux enjeux environnementaux, et incite à repenser les autorisations données aux entreprises fossiles. Des projets controversés, tels que les champs Jackdaw et Rosebank, reçoivent déjà des licences malgré leur inactivité actuelle. Ses futurs rejets de carbone mettent en péril les efforts de lutte contre le changement climatique, confrontant le gouvernement à des choix énergétiques décisifs.
Les nouveaux sites potentiels de forage pétrolier et gazier en mer du Nord, reposant actuellement sur des licences précoces au Royaume-Uni, pourraient émettre autant de dioxyde de carbone que ce que les foyers britanniques produisent en trois décennies. Cet avertissement a conduit à des appels pour que le gouvernement rejette les demandes des producteurs de combustibles fossiles recherchant les dernières autorisations nécessaires pour débuter leurs opérations. Des dizaines de petits sites potentiels, ainsi que plusieurs grands projets controversés comme les champs de Jackdaw et Rosebank, ont reçu une forme de licence, bien qu’ils ne soient pas encore opérationnels. Si tous sont mis en œuvre, les émissions qui en résulteraient auraient un impact global sur la capacité à éviter des niveaux catastrophiques de réchauffement climatique, selon les recherches menées par le groupe de campagne Uplift. Les sites autorisés mais non encore développés pourraient contenir jusqu’à 3,8 milliards de barils d’équivalent pétrole. Une fois brûlés, ces réserves libèreraient 1,5 milliard de tonnes de CO2. Les émissions des 28 millions de foyers britanniques sont estimées à environ 50 millions de tonnes par an.
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Toggleles impacts environnementaux des nouveaux forages
Les nouveaux sites de forage en mer du Nord suscitent de vives inquiétudes quant à leurs répercussions sur le climat global. Malheureusement, ces sites pourraient produire autant de dioxyde de carbone que l’ensemble des foyers britanniques en trois décennies. La quantité totale d’émissions potentielles est estimée à 1,5 milliard de tonnes, un chiffre qui démontre l’urgence d’une réponse politique ferme visant à réguler l’exploitation de ces champs pétroliers. Le débat public est enflammé, les militants écologistes appelant à un abandon complet des nouvelles licences pour prévenir ces catastrophiques émissions.
les licences et leur rôle dans les émissions
Sous le régime actuel du Royaume-Uni, des licences d’exploration sont délivrées à un stade précoce du processus de forage. Ces autorisations ne sont pas synonymes d’exploitation immediate, mais elles ouvrent la voie à une potentielle extraction massive. En fait, près de 3,8 milliards de barils de pétrole équivalent peuvent être extraits sous ces licences préliminaires. Les institutions gouvernementales doivent répondre aux critiques et se pencher sur des solutions qui minimisent les risques climatiques.
une nécessité de transition énergétique
Une transition vers l’énergie durable nécessite une approche proactive pour assurer un développement durable. Les gouvernements doivent aller au-delà de la simple annulation des licences existantes et explorer des stratégies pour créer de nouvelles opportunités d’emploi dans le secteur des énergies renouvelables. Des initiatives comme le stockage de CO2 et la réduction des émissions deviennent essentielles pour atteindre cet objectif. Le Royaume-Uni envisage de stocker jusqu’à 50 millions de tonnes de CO2 chaque année, illustrant un engagement vers un futur énergétique propre. Cela souligne l’importance d’un plan structuré pour une transition équitable et efficace pour les travailleurs et l’industrie dans un climat de changement.
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