La Chine lance la construction d’une centrale géothermique au Kenya dans le cadre de l’élan africain vers les énergies renouvelables

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Dans le majestueux cadre de la vallée du Grand Rift au Kenya, un nouveau projet de centrale géothermique voit le jour, sous l’impulsion de la Chine. Ce programme ambitieux, dirigé par PowerChina et soutenu par le groupe Kaishan, se veut un puissant levier pour exploiter le potentiel géothermique du Kenya. Avec un investissement impressionnant de 93 millions de dollars américains, la centrale Orpower 22 promet de propulser le pays au cinquième rang mondial en matière de production géothermique. Alors que le Kenya continue de miser sur les énergies renouvelables, ce projet s’inscrit dans une volonté d’accélérer une transition énergétique en Afrique, illustrant l’influence croissante des initiatives chinoises sur le continent.

La Chine a marqué un tournant dans le secteur des énergies renouvelables en Afrique en initiant un projet ambitieux de centrale géothermique dans la vallée du Grand Rift au Kenya. La société publique chinoise PowerChina, en collaboration avec le groupe Kaishan, s’investit dans la construction de l’installation de 35 mégawatts, s’élevant à 93 millions de dollars. Ce projet au cratère de Menengai souligne l’engagement à exploiter le potentiel géothermique du Kenya, déjà un pionnier africain dans ce domaine. William Ruto, Président du Kenya, a souligné lors de la cérémonie inaugurale, que cette centrale permettra au pays d’améliorer son classement mondial en matière de production géothermique. Actuellement, seulement 10 % du potentiel géothermique kenyan estimé à près de 10 000 mégawatts est exploité, ouvrant la voie à de nouvelles opportunités énergétiques. L’initiative s’inscrit dans la stratégie chinoise de repli vers les énergies propres, renforcée par la promesse du Président Xi Jinping d’augmenter les financements pour les projets renouvelables à travers l’Afrique, avec un apport de 51 milliards de dollars pour les trois prochaines années.

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La République populaire de Chine dévoile un projet ambitieux avec la construction d’une centrale géothermique dans le célèbre Grand Rift au Kenya. Située près du Cratère de Menengai, cette centrale, connue sous le nom d’Orpower 22, s’étend à travers une initiative cruciale de l’entreprise étatique de PowerChina. Ce projet représente un investissement impressionnant de 93 millions de dollars américains, financé par le groupe chinois Kaishan Group. Les implications de ce développement sont vastes pour les ressources énergétiques renouvelables africaines et positionnent le Kenya comme un joueur majeur sur l’échiquier géothermique mondial.

Le président William Ruto a exprimé avec enthousiasme que le Kenya pourrait se hisser au cinquième rang mondial en matière de production géothermique grâce à cette initiative. Avec une capacité de quelque 105 MW formée par trois installations modulaires, la centrale promet de propulser la production énergétique durable du pays. Actuellement, seul un dixième de son potentiel massif de près de 10 000 MW a été exploité, laissant entrevoir d’énormes possibilités à explorer à travers la coopération internationale.

Les engagements de la Chine illustrent une intention résolue de mettre fin au financement des centrales thermiques au charbon à l’étranger et d’accroître la contribution financière dans les projets d’énergies renouvelables comme le géothermique, le solaire et l’éolien. Kenya mise sur la géothermie et démontre des actions significatives envers la décarbonisation, avec l’appui inconditionnel de ses partenaires asiatiques.

l’expertise technologique chinoise comme catalyseur de progrès

L’ingénierie chinoise joue un rôle clé dans l’accélération du développement géothermique du Kenya. PowerChina, un acteur prééminent dans la construction et l’énergie, apporte son vaste savoir-faire pour s’assurer que le projet Orpower 22 soit un succès monumental. Ce partenariat capitalise sur les compétences techniques avancées de la technologie géothermique du groupe Kaishan, soutenant et amplifiant les infrastructures énergétiques kényanes.

Avec des outils et des méthodes innovantes, la technologie Kaishan promet des solutions durables et efficaces qui peuvent transformer non seulement le paysage énergétique du Kenya mais également positionner l’Afrique comme une puissance émergente dans le terrain des énergies renouvelables. L’alignement entre les investissements économiques et les avancées technologiques assoit une fondation stable pour de futures collaborations sino-africaines.

l’essor de l’afrique vers la décarbonisation

L’Afrique, bien qu’encore en retard face aux autres continents en termes d’énergies renouvelables, entrevoit un avenir où les collaborations telles que celle-ci deviennent le catalyseur d’un renouveau énergétique. Au-delà du Kenya, le continent s’efforce d’intégrer davantage de projets solaires et éoliens, se servant de la géothermie comme un pilier essentiel pour une source d’énergie stable et fiable.

Avec plus de 51 milliards de dollars américains investis par la Chine dans le développement énergétique africain, incluant 30 projets spécifiques de développement vert, le continent a occasion de faire converger son potentiel énergétique avec sa croissance économique. La transition vers ces sources écologiques positionne l’Afrique non seulement comme un utilisateur mais aussi comme un innovateur global dans la course aux énergies renouvelables, célébrant ainsi une percée nécessaire et durable.

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